Dieu répond toujours !!!
¤~¤ JEUNES CHRETIENS ¤~¤ :: Parlons de notre foi :: Témoignages de conversion, de bénédiction, de guérison...
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Dieu répond toujours !!!
DIEU REPOND TOUJOURS !!!
Un 22 septembre 2005 qui a changé ma vie
Je suis haïtienne et je suis arrivée en France en 2001. Mon mari m’a rejoint en 2002, suite à quoi je suis tombée enceinte. Nous étions sans travail. Nous n’avions rien. Mais je m’accrochais à Dieu et à cette parole « FAITES CONNAÏTRE VOS BESOINS A DIEU PAR DES PRIERES, DES SUPPLICATIONS ET DES ACTIONS DE GRACE ». Nous, nous sommes ainsi confié à Dieu et à des frères et des sœurs de l’église du Centre du Renouveau Chrétien. Ils nous ont aidé et soutenu comme il le pouvaient et du mieux qu’ils ont pu.
LE FILS EN RETENTION
Le 13 juin 2004 notre premier fils est arrivé en France, il a été gardé en zone de rétention. Imaginez un instant la douleur que cela peut causer à des parents privé de leur fils depuis plus de 4 ans. La douleur de savoir ce fils si prêt de soi mais inaccessible et en rétention. Il m’était insupportable de concevoir qu’il allait repartir au pays. Mon mari et moi, nous sommes jeté au pied de la croix et souvenus des promesses de la parole de Dieu. Avec l’aide d’une sœur de l’assemblée, nous avons trouvé une association qui nous a été d’une grande aide dans nos démarches. Au bout d’une semaine de rétention, miraculeusement le ministre de l’intérieur à donné l’ordre de relâcher notre enfant et donc de l’admettre sur le territoire français. Nous avons loué Dieu ce jour là, de toute notre âme. Nous étions contents d’avoir notre fils avec nous, après des moments si difficiles. Je me rappelle d’un message donné lors d’un des cultes : « À chaque grand combat, il y a une grande victoire ».
UN ENFANT NE DANS LA GLOIRE DE DIEU
J’étais enceinte de notre 3eme enfant Alors que nous étions, sans papier, sans travail et sans logement. Malgré cela je sentais que cette grossesse était différentes des deux autres. Je souffrais mais ne voulais en aucun cas aller voir un médecin. Et puis un jour, j’ai été admise aux urgences. Ce jour fut le 22 septembre 2005. Après les examens et l’échographie le médecin m’annonça que j’avais un excès de liquide amniotique. L’ambryon que je portais risquait de donner vie à un enfant atteint de trisomie. J’ai refusé cela sur le champ ! « Docteur je mettrais pas au monde un bébé trisomique ! Parce que mon Dieu ne me donnera pas un bébé atteint de trisomie. » Il me répondit alors que je parlais d’un dieu méchant qui avait donné à d’autres des enfants trisomiques. Alors je lui répondis que je ne connaissais pas la relation des autres avec Dieu mais que j’avais confiance car je connais la relation que j’ai avec mon Dieu.
Il m’a proposé de faire une amniosynthèse, chose que j’ai refusé. J’ai été hospitalisé durant 12 jours. J’ai eu le droit à un psychologue, un psychiatre et des infirmières qui se relayaient pour m’expliquer le danger que je courrais, et la chance que j’avais d’avoir su à temps. « Combien de gens auraient aimés être à votre place ! et aujourd’hui ils se retrouvent avec des enfants lourdement handicapés. »
Un autre message me venait à l’esprit : « Il ne faut jamais jouer avec les ambryon, si sur les millions, c’est celui là qui a réussit à féconder ce n’est pas un hasard ». Alors j’ai commencé à témoigner à une infirmière tout ce que Dieu avait fait dans ma vie et dans ma famille. « Vous me voyez là couchée, mais j’ai une famille à nourrir, je n’ai pas de papiers, pas de travail mais je ne suis pas inquiète ». Durant toute la grosse je souffrais et le médecin ne cessait de me proposer de ne pas garder cet enfant. Dieu dans sa miséricorde m’a gardé et fait grâce. Toute l’assemblée m’a soutenue. Et à la naissance de mon bébé, le médecin m’a annoncé que l’enfant n’était pas trisomique mais qu’il devait être opéré du reins. Que d’épreuves ! Mais gloire soit rendu à Dieu ! En moins d’un mois ma fille a subit 2 opérations. Aujourd’hui elle a grandi et nous remercions Dieu de tout notre cœur car sa parole nous dit que notre destinée est entre ses mains.
Et pour couronner tout cela, comme vous le savez Dieu ne fait rien à moitié. A cette même époque, une nouvelle loi est rentrée en vigueur. Les parents des enfants scolarisés avaient automatiquement un récipissé et une autorisation pour travailler. Voilà le Dieu tout puissant avec qui je marche. Que toute la gloire lui revienne !
Un 22 septembre 2005 qui a changé ma vie
Je suis haïtienne et je suis arrivée en France en 2001. Mon mari m’a rejoint en 2002, suite à quoi je suis tombée enceinte. Nous étions sans travail. Nous n’avions rien. Mais je m’accrochais à Dieu et à cette parole « FAITES CONNAÏTRE VOS BESOINS A DIEU PAR DES PRIERES, DES SUPPLICATIONS ET DES ACTIONS DE GRACE ». Nous, nous sommes ainsi confié à Dieu et à des frères et des sœurs de l’église du Centre du Renouveau Chrétien. Ils nous ont aidé et soutenu comme il le pouvaient et du mieux qu’ils ont pu.
LE FILS EN RETENTION
Le 13 juin 2004 notre premier fils est arrivé en France, il a été gardé en zone de rétention. Imaginez un instant la douleur que cela peut causer à des parents privé de leur fils depuis plus de 4 ans. La douleur de savoir ce fils si prêt de soi mais inaccessible et en rétention. Il m’était insupportable de concevoir qu’il allait repartir au pays. Mon mari et moi, nous sommes jeté au pied de la croix et souvenus des promesses de la parole de Dieu. Avec l’aide d’une sœur de l’assemblée, nous avons trouvé une association qui nous a été d’une grande aide dans nos démarches. Au bout d’une semaine de rétention, miraculeusement le ministre de l’intérieur à donné l’ordre de relâcher notre enfant et donc de l’admettre sur le territoire français. Nous avons loué Dieu ce jour là, de toute notre âme. Nous étions contents d’avoir notre fils avec nous, après des moments si difficiles. Je me rappelle d’un message donné lors d’un des cultes : « À chaque grand combat, il y a une grande victoire ».
UN ENFANT NE DANS LA GLOIRE DE DIEU
J’étais enceinte de notre 3eme enfant Alors que nous étions, sans papier, sans travail et sans logement. Malgré cela je sentais que cette grossesse était différentes des deux autres. Je souffrais mais ne voulais en aucun cas aller voir un médecin. Et puis un jour, j’ai été admise aux urgences. Ce jour fut le 22 septembre 2005. Après les examens et l’échographie le médecin m’annonça que j’avais un excès de liquide amniotique. L’ambryon que je portais risquait de donner vie à un enfant atteint de trisomie. J’ai refusé cela sur le champ ! « Docteur je mettrais pas au monde un bébé trisomique ! Parce que mon Dieu ne me donnera pas un bébé atteint de trisomie. » Il me répondit alors que je parlais d’un dieu méchant qui avait donné à d’autres des enfants trisomiques. Alors je lui répondis que je ne connaissais pas la relation des autres avec Dieu mais que j’avais confiance car je connais la relation que j’ai avec mon Dieu.
Il m’a proposé de faire une amniosynthèse, chose que j’ai refusé. J’ai été hospitalisé durant 12 jours. J’ai eu le droit à un psychologue, un psychiatre et des infirmières qui se relayaient pour m’expliquer le danger que je courrais, et la chance que j’avais d’avoir su à temps. « Combien de gens auraient aimés être à votre place ! et aujourd’hui ils se retrouvent avec des enfants lourdement handicapés. »
Un autre message me venait à l’esprit : « Il ne faut jamais jouer avec les ambryon, si sur les millions, c’est celui là qui a réussit à féconder ce n’est pas un hasard ». Alors j’ai commencé à témoigner à une infirmière tout ce que Dieu avait fait dans ma vie et dans ma famille. « Vous me voyez là couchée, mais j’ai une famille à nourrir, je n’ai pas de papiers, pas de travail mais je ne suis pas inquiète ». Durant toute la grosse je souffrais et le médecin ne cessait de me proposer de ne pas garder cet enfant. Dieu dans sa miséricorde m’a gardé et fait grâce. Toute l’assemblée m’a soutenue. Et à la naissance de mon bébé, le médecin m’a annoncé que l’enfant n’était pas trisomique mais qu’il devait être opéré du reins. Que d’épreuves ! Mais gloire soit rendu à Dieu ! En moins d’un mois ma fille a subit 2 opérations. Aujourd’hui elle a grandi et nous remercions Dieu de tout notre cœur car sa parole nous dit que notre destinée est entre ses mains.
Et pour couronner tout cela, comme vous le savez Dieu ne fait rien à moitié. A cette même époque, une nouvelle loi est rentrée en vigueur. Les parents des enfants scolarisés avaient automatiquement un récipissé et une autorisation pour travailler. Voilà le Dieu tout puissant avec qui je marche. Que toute la gloire lui revienne !
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