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Sauvé des griffes d'un gorille !

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Sauvé des griffes d'un gorille ! Empty Sauvé des griffes d'un gorille !

Message par GoD'$ CHiLD78 Ven 28 Mar - 9:33

Sauvé des griffes d'un gorille !
J’ai eu une enfance très difficile. Mes parents étaient pauvres et m’avaient abandonné. A l’âge de 11 ans, je commençais à pratiquer la chasse pendant les vacances, et grâce à cela, je pouvais pourvoir à mes besoins. En raison de ma vie de misère, j’avais beaucoup de retard scolaire. Il m’arrivait parfois d’aller à l’école pendant toute une année, et manquer celle d’après faute d’argent. Alors, je me mettais à la chasse et à la pêche pour payer la scolarité de l’année suivante. Lorsque j’obtins mon BEPC, j’étais tellement heureux que j’oubliais de prévoir les frais de scolarité de l’année suivante. Alors, à court d’argent, je fus obligé de sacrifier une année. Chasseur bien expérimenté, j’utilisais une arme de calibre douze avec laquelle, enfant, j’avais tué des animaux féroces. Grâce à l’argent obtenu, je pouvais louer une chambre en ville, payer mes études et toutes mes fournitures scolaires pour l’année. Un jour, je partis en pleine brousse avec un cousin de mon village. Je ne rencontrais aucun animal : Il y avait un problème. Le lendemain vers dix heures trente, j’entendis un bruit. Je décidais d’aller voir seul ; je pensais que c’était des singes. Je gravis une grande colline et en haut, je réalisais qu’il s’agissait plutôt de gorilles extrêmement dangereux et impressionnants. Me voilà donc approchant un groupe de gorilles alors que je n’avais pas l’arme appropriée.

Je commençais malgré tout à les poursuivre… J’ignorais que le mâle dominant était derrière moi car il m’avait repéré et avait senti une odeur étrangère. Soudain, il poussa un grand cri. Dès que je l’entendis, je me cachais au pied d’un arbre ; il commença à me chercher, et je me retrouvais en face de cette gigantesque bête féroce. Mon arme était inutile. Je pensais : « je ne crois pas qu’une telle arme peut tuer ça ». Le gorille m’observa pendant plus de trente minutes. J’étais pétrifié mais mon intention était de détourner son attention coûte que coûte. Alors, je tirais, mais au lieu de fuir, le gorille se dirigea vers moi. Je m’accroupis au pied de l’arbre. Le gorille se mit à arracher tous les arbustes pour m’en recouvrir. Ensuite, il s’en alla et je me mis à crier, mon cousin arriva et me débarrassa des branches qui me recouvraient. Pendant que je lui racontais ce qui m’est arrivé, nous le vîmes revenir. En réalité, il était resté caché à vingt mètres de distance. Et nous étions en train de parler tranquillement !!! Le gorille revint vers moi et m’arracha mon arme. Mon cousin qui était armé d’une machette, pris la fuite, ne pouvant rien faire pour me sauver. Ce monstre me jeta à terre et s’assit sur moi et m’immobilisa. Il pesait plus de 300 kilos.

Ensuite, il se mit à me lacérer le corps en commençant par ma main, mais sans toucher aux os, puis mon dos, à l’aide de ses griffes et de ses dents. Il m’arracha toute la peau du dos, et mon omoplate sortit au point de toucher mon oreille. Lorsque je sentis la mort venir, alors tout commença : car lorsque le gorille m’avait saisi, je m’étais mis pleurer, à crier, appelant mon cousin à l’aide, mais en vain. J’allais mourir ! Mais quelqu’un entendit mon cri. J’entendis une voix m’appeler : je crus même un moment que c’était le gorille qui parlait. La voix m’appela trois fois par mon nom. Elle me dit : « Tu pleures ? Est-ce que tu sais qu’il y a quelqu’un qui peut te sauver à l’heure même ? » Je n’étais pas endormi, il était onze heures du matin. Lorsque cette voix m’appela, tout de suite, je criais : « Seigneur Jésus, est-ce de cette façon que je vais finir ma vie ? O Seigneur Jésus, vais-je mourir ainsi ? » (Je crois et je sais que c’est Dieu lui-même qui a mis ce nom là dans ma bouche, car je ne connaissais pas cette parole du livre des Romains 10.13: « Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé »), Je saignais de partout comme vous ne pouvez l’imaginer, j’étais sans force et je me vidais de mon sang. Aujourd’hui j’ai des cicatrices impressionnantes assez difficiles à voir. Quand j’ai crié pour la première fois, j’avais encore du souffle, la deuxième fois, je l’avais perdu: « Seigneur Jésus… » et je me suis arrêté. Et là j’ai vu quelque chose qui, encore aujourd’hui, dépasse mon entendement.

Ce témoignage, j’ai décidé de le donner partout, comme je l’ai promis à mon Seigneur, et ce témoignage a touché les gens les plus incrédules. Le pasteur Jacques a vu les cicatrices sur mon corps et il peut vous le confirmer.

Lorsque je donne ce témoignage, je veux vraiment honorer mon Dieu. « Seigneur est-ce que je raconte réellement ce que j’ai vu ? » Je ne veux ni rajouter ni retrancher quoique ce soit. Alors, je vis comme deux mains qui descendaient du ciel. Près de l’endroit où le gorille me dévorait, il y avait un palétuvier aux racines aériennes. Je vis de mes yeux qu’« On » soulevait le gorille et qu’on enfonçait sa tête énorme dans les racines du palétuvier. C’est incroyable, mais bien réel. C’est en essayant désespérément de retirer sa tête d’entre les racines que le gorille mourut. Qui a donc fait cela ? Quand je me levais, je dis « Seigneur Jésus, j’ai compris aujourd’hui que sur cette terre il n’y a que toi. » Mon bras droit était devenu plus long que l’autre, je sentais quelque chose qui me touchait l’oreille sans savoir que c’était mon omoplate, j’avais des blessures atroces sur le corps. J’étais à plus de quinze kilomètres dans la brousse et j’ai fait cette promesse au Seigneur : « Seigneur Jésus, si tu me donnes encore la santé, je témoignerai de ce que tu as fait pour moi dans le monde entier ».

A peine avais-je fini de parler que j’étais debout. De nouveau, j’entendis la voix : « Mon fils va, je serai avec toi et fais ce que tu as dit » et une force entra en moi. Je pus quitter la brousse et marcher jusqu’au village. L’accident s’était passé à 11 heures et j’arrivais à mon village à 19 heures. Il fallait m’emmener à l’hôpital situé près de la frontière, nous y arrivâmes à 22 heures. L’un des médecins n’avait jamais rien vu de pareil, une personne debout alors qu’elle était vidée de son sang ! Désemparé, le médecin ne savait comment me soigner. Les blessures ne pouvaient être ni nettoyées ni recousues sans anesthésie, car le produit anesthésiant passe dans le sang, et comme j’étais vidé de mon sang, le risque de mort était certain.

Plein d’assurance, je lui dis : « Celui qui m’a enlevé de dessous le ventre du gorille, celui qui m’a conduit de la brousse jusqu’à mon village, celui qui m’a porté jusqu’ici, ne me laissera pas mourir maintenant ; j’ai une mission à remplir, je ne vais pas mourir, endormez-moi. »

Sans grande conviction, le médecin referma les nombreuses blessures, bâclant presque le travail. Il ne recousit même pas les tendons superficiels, pensant que je n’allais pas passer la nuit. Il me laissa, couché sur la table. Je n’ai même pas subi de transfusion sanguine. Le grand miracle est qu’au bout de 48 heures, je suis réveillé. Depuis ce jour, je sers le Seigneur Jésus. Je sais qu’Il est le bon chemin. Il est Vivant. Cette expérience témoigne que Dieu peut toute chose. Rien ne lui est impossible.
GoD'$ CHiLD78
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